La définition du chakra brachial est assez récente, il a été mis en évidence par Magrit Coates, une énergéticienne de renom. Tout animal est rattaché à la Terre par le biais de ce chakra, mais les animaux vivant avec les humains sont rattachés à leur humain par un lien brachial supplémentaire. En général, un animal ne possède qu’un seul lien brachial avec un humain.
Les animaux adoptés par les humains absorbent comme des éponges les maux de leurs « gardiens », jusqu’à se sacrifier pour eux dans certains cas et développer différents troubles tant sur les plans physiques que psychiques. Le terme « gardiens » est un vocabulaire apporté par la standardisation de la pratique de communication animale. Laïla Del Monte a été pionnière en la matière et elle a écrit de nombreux ouvrages à ce sujet, dont le livre « Communiquer avec les animaux ».
L’émotionnel est très développé chez l’animal, pas seulement chez les mammifères dont nous sommes rattachés, nous les Homo sapiens. Nous pouvons travailler chez l’animal sur l’aspect multidimensionnel de l’énergie exactement de la même façon que chez les humains. Il est possible de détecter sur eux des émotions primaires et secondaires telles que décrites en psychologie humaine par les travaux du psychologue Paul Eckman.
Un animal adopté, qui a vécu des événements traumatisants dans son passé, peut développer certaines mémoires. Notamment des blocages ou des blessures émotionnelles, telles que l’abandon, la séparation, le rejet, l’humiliation, etc. Des traumatismes peuvent donc survenir en tout état de cause, peu importe l’histoire de vie de votre compagnon, y compris en remontant sur ses lignées et son karma, autant sur l’aspect individuel, que familial ou collectif. Je pratique alors un soin au niveau causal de libération karmique.
L’animal expérimente tout comme l’humain la loi du karma. Cause, effet, rétribution. Lorsque la leçon karmique a été apprise, un certain travail peut être fait pour le délester de ce qu’il n’a plus besoin d’expérimenter.
En résumé, lorsque l’animal est soit fugueur, soit mordeur, lorsqu’il souffre plus largement de troubles du comportement, d’anxiété, chronique ou occasionnelle, il se peut qu’un travail énergétique soit intéressant. Dans le but de tenter de guérir ou soulager l’émotionnel, ou bien de réduire les risques de l’évolution physique d’une pathologie liée par exemple au plan émotionnel, au plan mental, causal et ainsi de suite.
Je travaille également sur les problèmes d’entente entre des animaux au sein d’un même foyer ou d’un même groupe. En cas d’échec après la consultation d’un comportementaliste conventionnel par exemple, je peux intervenir et proposer un travail alternatif. Ce travail bien souvent porte ses fruits, et représente un recours « barrage » face à l’abandon ou l’euthanasie, dans des cas où les gardiens sont dépassés, et ne savent plus quoi faire. En règle générale, une à deux séances peuvent être à même de régler ce genre de problématiques.
Un suivi « énergétique » de l’adoption est d’ailleurs une stratégie intéressante pour réduire à presque zéro le risque d’échec. Au cours de mon travail, et avec d’autres thérapeutes énergétiques, je me suis vite rendu compte qu’il était la plupart du temps possible de dépasser un problème de comportement réputé ingérable.