Tout l’univers est rythmé par la vibration énergétique.
Un film d’horreur, un ouvrage morbide, une actualité « négative », une simple image triste sur un post sont constituées de cette « matière » énergétique particulièrement dense et obscurcissante qui nous plombe « l’air de rien » et qui nourrit notre part d’« obscurité » plutôt que de l’étioler. Attention à nos breuvages culturels ou cultuels ! Quand j’évoque « nos breuvages », je pense aussi à l’alcool.
J’en profite pour écrire ce laïus sur l’alcool. L’alcool est une énergie particulièrement « lourde » et à l’origine de bien des maux. Peux se prêtent à y croire, tant les boissons alcoolisées font partie des us et coutumes millénaires. Tant de personnes pensant que le danger réside en son excès plutôt qu’en sa nature. Beaucoup associent l’« alcool » à la joie de vivre, alors que la joie de vivre n’a rien à voir avec l’alcool. Le conflit, ou son extrémité, c’est à dire la guerre à beaucoup plus « à voir » avec l’alcool et toute l’agressivité et l’intolérance qui en découle par attraction. On peut facilement s’en rendre compte à travers les millénaires de l’histoire humaine. Des millénaires jalonnés de conflits plus ou moins sanglants. Où de ces lieux mortifères, sans alcoolisme, aucune boucherie n’aurait été possible. Peu de soldats auraient accepté d’y mener la guerre sans « ivresse », quand ils n’étaient pas également drogués pour « supporter » de tels actes infantiles. Regarder autour de vous, peu sont abstèmes, le bénéfice en serait pourtant immense.
Un rythme de vie saine est la condition sine qua non pour s’alléger et de s’éveiller : sommeil, alimentation, activités de pleine nature, méditation, lien social. Des activités où la prise de conscience de son incarnation et du moment présent doit primer à chaque instant. La joie de vivre découle de cette prise de conscience et d’acceptation de l’impermanence des choses. Elle découle également de l’acceptation que nous sommes maître en la propre demeure de notre être. Et, de renoncer à prétendre être maître à l’extérieur de cet « être » qui est déjà si vaste et dont les infinis recoins demandent à être explorés. La joie de vivre également se cultive force de résilience et entêtement.
Le niveau vibratoire est une découverte que l’on doit en partie au radiesthésiste Alfred Bovis au début du 20e siècle. Il n’est pas à proprement parler défini par la méthode scientifique. Sa démonstration reste de ce fait du domaine de la croyance. Et ce, même si de nombreux guérisseurs se basent par comparaison, par contraste, sur cette croyance établie dans leurs travaux quotidiens. La fréquence vibratoire est une mesure de niveau vibratoire en Hertz (Hz).
Les chakras, issus du savoir ayurvédique ancestral, sont la définition de sept centres énergétiques primordiaux répartis sur la verticalité de notre corps physique. Ce sont des « prises » énergétiques, à travers lesquels l’énergie s’engouffre et tourbillonne avant d’être propulsée à travers les méridiens. Les 12 méridiens ou « Nāḍīs » en ayurvédique sont les réseaux empruntés par le flux d’énergie vitale ; appelé le Prāṇa.
Le chakra coronal domine le sommet de la tête au niveau de l’occiput, le chakra gorge se place juste derrière la nuque, le chakra plexus solaire siège au niveau du plexus comme son nom l’indique, le chakra cœur au niveau du cœur, le chakra racine est un peu en dessous du nombril, enfin le chakra sacré se trouve à la base de l’aine. Le concept des chakras est une architecture simplifiée des systèmes énergétiques du vivant et notamment de l’homme, la réalité est a priori beaucoup plus complexe. À noter que l’animal possède un chakra supplémentaire, le chakra brachial qui a été décrit assez récemment par la guérisseuse Margrit Coates.
La « thérapie » alternative énergétique part du principe que toute maladie physique se déclare avant sous une forme énergétique ; bien avant de meurtrir le corps physique. L’approche prophylactique présume donc ; de juguler les déséquilibres et autres désordres énergétiques afin de prévenir les répercussions sur le corps physique. D’ailleurs, on peut facilement admettre que la médecine allopathique intervient sur la problématique à un stade le plus souvent avancé et nécessitant des traitements de chocs. La détection précoce est d’ailleurs une préoccupation majeure des champs de recherche scientifique.
Ce qu’on appelle l’ancrage, c’est-à-dire la capacité à s’arrimer dans la matière dense ; est primordiale pour vivre totalement l’expérience de physicalité ou matérialité de l’incarnation. Pour ainsi développer la « pleine » conscience, il ne suffit pas de naître pour s’ancrer solidement à la Terre mère. La naissance n’est qu’incorporation et d’autres paramètres définissent la qualité de cette « incarnation », dont l’ancrage.
Travailler l’ancrage nous reconnecte au monde terrestre qui nous entoure. Nos perceptions subtiles sont augmentées à travers le « ici et maintenant » de l’instant présent et de l’expansion de conscience qui en découle.
Par ailleurs, l’enlèvement des blocages notamment émotionnels ou mentaux non résolus est l’un des nombreux leviers qui contribuent à dépasser ces mémoires traumatiques, pas simplement au niveau individuel, mais également sur les lignées, le prénatal, l’incarnation présente. Avec pour résultat, d’avancer sur le chemin de la libération. Un travail de libération « karmique » que je pratique en même temps permet d’atteindre d’autres strates plus en profondeur, tant dans le passé de votre incarnation présente que vos vies antérieures. Il peut être aussi intéressant de défricher les objectifs liés à notre incarnation.
L’éveil à travers la méditation permet de s’ancrer, de se centrer en rompant notre entropie, d’expanser sa conscience et enfin d’avancer sur le chemin de la libération. L’entropie, caractérise le désordre d’un « sytème ». La pratique de la méditation développe cet élan libérateur à travers le temps. Au cours de mon soin, je perçois vers quelle pratique méditative vous orienter et quelle voie de « Yoga » vous correspond. Un « Yoga » dans la culture indienne est une philosophie de vie associée à des pratiques d’épures physiques et spirituelles.
La vie est remplie d’obstacles et cela est bien normal, car nous sommes venus ici pour expériences et intégrer. Dans ce qui peut s’apparenter parfois à un vrai chemin de croix, quelle que soit la situation à franchir, rejeter la faute sur l’autre nourrit un effet boomerang. Cette « résonance » parasite nous empêche d’avancer. Elle empêche toute remise en question. Or, découle de cette remise en question permanente, une ouverture, une échappatoire, une catharsis et enfin une liberté folle, par rapport à ce qui nous arrive à tous au quotidien.
L’inertie n’existe pas dans l’univers, rien ne prolonge « statiquement » sans transformation. Et ce, même si nous rêvons d’un jardin refuge immuable, il serait plutôt le fruit de nos peurs plutôt que de nos besoins. Car nos besoins sont en constante évolution. S’affranchir de nos peurs, c’est accepter l’impermanence des choses, accepter de ne pas être dans le contrôle. Être dans le contrôle, c’est avoir peur. Aucune décision prise dans la « peur » n’est libératrice. La peur engendre les chaînes de l’esclavage, et ainsi la soumission. Observons l’autre plutôt que de le juger, soyons tolérants et ainsi libérés. Juger l’autre, engage une « fatigue ». Une perte d’énergie qui nous déconstruit, autant qu’elle nous enferme, dans un esclavagisme relatif.
Prenons notre incarnation en main, elle ne concerne que nous et ne peut être défendue que par nous-mêmes. Elle est potentiellement régie par la loi karmique qui impose l’expérience individuelle à travers la transcendance de l’égo au sens noble et dans un monde dualiste.
Empruntons la voie de la tolérance pour élever nos vibrations, expanser notre conscience. La tolérance, c’est poser un regard compassionnel sur les blessures de l’autre. Lui apporter l’énergie à même de lui permettre de panser la blessure. Un acte « malveillant » est plutôt le symptôme d’une immaturité ou d’une blessure. Alors, nous pouvons aider l’autre à guérir plutôt que de le juger ou pire, c’est-à-dire le condamner. Nous avons cette liberté d’amener une énergie de clémence plutôt que de faire le jeu de rebond d’énergies d’intolérance. N’opposons pas une haine face à une autre haine. Autrement, la haine est décuplée. À la fin, nous en perdrons le contrôle et c’est cela qui génère les guerres.
Dépassons tout concept lié au jugement de l’autre pour alléger nos vibrations et les rendre plus lumineuses. Juger l’autre, c’est quelque part l’expression d’une insécurité dont il faut travailler à se libérer pour récupérer un peu de liberté et ne pas en déposséder l’autre. Il y a une différence entre « juger » et observer ». À la différence d’un jugement, l’observation n’implique aucune intégration, aucune perte d’énergie dans celui qui « observe » plutôt que « juge ». Sortons de ces concepts obsolètes, de ces paradigmes limitants qui n’ont rien d’autre à proposer que l’altération et le rétrécissement de nos champs de conscience individuels et qui finissent par provoquer la division et le manque de reliance des groupes humains notamment entre eux. L’amour inconditionnel est ce lien, cette connexion. L'autre, y compris dans sa manifestation négative, est un miroir qui nous donne matière à comprendre et dépasser sur nous-mêmes un aspect particulier. Le lien social nous est particulièrement vital en ce sens notamment.
Libérons-nous des injonctions qui n’émanent pas de notre for intérieur. Ce qui est bon pour nous ne correspond pas aux attentes de nos proches, de nos amis et encore moins de la société. Nous devons faire ce que nous ressentons au plus profond de nous-mêmes en suivant la voie du cœur. À ce moment, nous sommes guidés par une intuition libérée de toutes peurs. La spiritualité n’est ni religion, ni doctrine, ni dogme. Elle est expérience individuelle et singulière dans l’esprit de la reliance au Tout.