Libération énergétique

Par Aurélien, le 2023-08-20T22:39:32.131Z


Ganesh, le dieu hindou de la sagesse notamment.

Un soin énergétique essentiel pour aller de l'avant.
Conscientiser et se libérer des énergies qui nous plombent.



Travailler notre part de lumière

Tout l'univers est rythmé par la vibration énergétique. Nous entrons en résonance avec les énergies qui vibrent à la même fréquence que nous par attraction "magnétique" ; c’est pourquoi il est primordial d’élever ses vibrations pour ne pas "accrocher" d’énergies basses, négatives ou stagnantes.

Nous ne sommes pas constitués d'une seule vibration mais plutôt d'une infinité de vibrations. Elles sont regroupées en amas reliés, nuancés, tant en pléthores de couleurs que d'intensités à travers différentes échelles et objets. Chakras, corps subtils, physique, organes, cellules etc.

Les miasmes, la maladie, la tristesse, un mental surchargé, la colère, les émotions négatives dans leurs ensemble vibrent bas. Ce sont des énergies denses, sombres. Elles ralentissent notre éveil, notre quête de spiritualité. La manœuvre d’évitement consiste à élever son niveau vibratoire et c’est ce que je vous propose à travers ce travail de rééquilibrage.

Un film d'horreur, un ouvrage morbide, une actualité "négative", une simple image triste sur un post, sont constituées de cette "matière" énergétique particulièrement dense et obscurcissante qui nous plombe "l'air de rien" et qui nourrit notre part d'"obscurité" plutôt que de l'étioler. Attention à nos breuvages culturels ou cultuels ! Quand j'évoque "nos breuvages", je pense aussi à l'alcool.

J'en profite pour écrire ce laïus sur l'alcool. L'alcool est une énergie particulièrement "lourde" et à l'origine de bien des maux. Peux se prêtent à y croire, tant les boissons alcoolisées font partis des us et coutumes millénaires. Tant de personnes pensant que le danger réside en son excès plutôt qu'en sa nature. Beaucoup associent l'"alcool" à la joie de vivre, alors que la joie de vivre n'a rien à voir avec l'alcool. Le conflit, ou son extrémité, c'est à dire la guerre à beaucoup plus "à voir" avec l'alcool et toute l'aggressivité et l'intolérance qui en découle par attraction. On peut facilement s'en rendre compte à travers les millénaires de l'histoire humaine. Des millénaires jalonnés de conflits plus ou moins sanglants. Où de ces lieux mortifères, sans alcoolisme, aucune boucherie n'aurait n'aurait été possible. Peu de soldats auraient accepter d'y mener la guerre sans "ivresse", quand ils n'étaient pas également drogués pour "supporter" de tels actes infantiles. Regarder autour de vous, peu sont abstèmes, le bénéfice en serait pourtant immense. En plus de détruire le corps physique, la mémoire, l'alcool "aimante" toute sorte d'énergies "denses et négatives" dont croyez-moi nous n'avons pas besoin au delà de la catharsis. Colère, aggressivité, intolérance, etc.

Plus nous vibrons haut, plus nous nous connectons à des champs d’énergie à même de décupler nos capacités psychiques et d’accéder pleinement aux potentiels de notre guidance ; il est donc primordial de chercher à travailler notre part de lumière en élevant notre niveau vibratoire. Notre "guidance" est en quelque sorte notre boussole. Elle est constituée d'énergies qui nous assistent au quotidien dans notre chemin de vie et nous protège. L'alcool ou toute "substance" à même d'influencer l'état de conscience, peut importe la dose entrave cette connexion. L'énergie de notre "guidance" ne nous parvient plus sous l'emprise de l'alcool. Ainsi, nous sommes laissés sans protection le temps que ces énergies circulent. La densité d'une énergie d'alcool rend sa dissipation longue et fastidieuse même si l'on ne le ressent pas. Toute substance qui modifie l'état de conscience est à bannir.

Un rythme de vie sain est la condition sine qua non pour s’alléger-s'éveiller : sommeil, alimentation, activités de pleine nature, méditation. Des activités où la prise de conscience de son incarnation et du moment présent doit primer à chaque instant. La joie de vivre découle de cette prise de conscience et d'acceptation de l'impermanence des choses. Elle découle également de l'acceptation que nous sommes maître en la propre demeure de notre être. Et, de renoncer prétendre être maître à l'extérieur de cet "être" qui est déjà si vaste et dont les infinis recoins demandent à être explorés. La joie de vivre, également se cultive force de résilience et entêtement.

Qu'est-ce qu'un niveau ou fréquence vibratoire ?

Le niveau vibratoire est une découverte que l’on doit en partie au radiesthésiste Alfred Bovis au début du 20ème siècle. Il n’est pas à proprement parler définit par la méthode scientifique. Sa démonstration reste de ce fait du domaine de la croyance. Et ce, même si de nombreux guérisseurs se basent par comparaison, contraste, sur cette croyance établie dans leurs travaux quotidiens. La fréquence vibratoire est une mesure de niveau vibratoire en Hertz (Hz).

Le cosmos.Le cosmos.

Nos centres d'énergies

Les chakras, issus du savoir ayurvédique ancestral, sont la définition de sept centres énergétiques primordiaux répartis sur la verticalité de notre corps physique. Ce sont des "prises" énergétiques, à travers lesquels l'énergie s'engouffre et tourbillonne avan d'être propulsée à travers les méridiens. Les 12 méridiens ou "Nāḍīs" en ayurvédique sont les réseaux empruntés par le flux d'énergie vitale ; appellé le Prāṇa.

Le chakra coronal domine le sommet de la tête au niveau de l'occiput, le chakra gorge se place juste derrière la nuque, le chakra plexus solaire siège au niveau du plexus comme son nom l'indique, le chakra cœur au niveau du cœur, le chakra racine est un peu en dessous du nombril, enfin le chakra sacré se trouves à la base de l'aine. Le concept des chakras est une architecture simplifiée des systèmes énergétiques du vivant et notamment de l'homme, la réalité est a priori beaucoup plus complexe. À noter que l'animal possède un chakra supplémentaire, le chakra brachial qui a été décrit assez récemment par la guérisseuse Margrit Coates.

Les méridiens sont les canaux
qui transportent l'énergie

Il maillent nos corps énergétiques et font circuler l'énergie vitale à travers nos différents systèmes et organes. Lorsque les méridiens enregistrent une faiblesse ou un blocage du flux d’énergie, la santé de la personne n'est pas optimale. Lorsque l’énergie vitale, le "Qi" en médecine chinoise ou "Prāṇa" dans l'Hindouisme ne circule pas librement, ce déséquilibre peut alors provoquer des maladies physiques, mentales ou émotionnelles. Le travail en profondeur sur les chakras et les méridiens énergétiques permet de rééquilibrer la circulation de l'énergie vitale à travers le corps. Ces croyances, sont le fruit de pratique millénaire.

La médecine alternative énergétique part du principe que toute maladie physique se déclare avant sous une forme énergétique ; bien avant de meurtrir le corps physique. L'approche prophylactique présume donc ; de juguler les déséquilibres et autres désordres énergétiques afin de prévenir les répercussions sur le corps physiques. D'ailleurs, on peut facilement admettre que la médecine allopathique intervient sur la problématique à un stade le plus souvent avancé et nécessitant des traitements de chocs. La détection précoce est d'ailleurs une préoccupation majeure des champs de recherche scientifiques.

Les racines de l'arbre sont une métaphore de l'ancrageLes racines de l'arbre sont une métaphore de l'ancrage. L'arbre relie le ciel à la Terre. La cîme connecte l'arbre au divin, ses racines à la Terre-mère.

Expansion de conscience

Ce qu'on appelle l'ancrage, c’est-à-dire la capacité à s'arrimer dans la matière dense ; est primordiale pour vivre totalement l'expérience de physicalité ou matérialité de l'incarnation. Pour ainsi développer la "pleine" conscience, il ne suffit pas de naître pour s'ancrer solidement à la Terre mère. La naissance n'est qu'incorporation et d'autres paramètres définissent la qualité de cette "incarnation", dont l'ancrage.

Travailler l'ancrage nous reconnecte au monde terrestre qui nous entoure. Nos perceptions subtiles sont augmentées à travers le "ici et maintenant" de l'instant présent et de l'expansion de conscience qui en découle. S'ancrer pour ressentir, c'est se libérer et enfin s'ouvrir à la vie pour ne plus simplement exister.

Notez que les corps spirituels bien que rattachés au corps physique, ne sont la plupart du temps pas totalement positionnés correctement sur celui-ci et peuvent influer l'ancrage et notre alignement. En cause, différents traumatismes physiques ou psychiques. Parfois, un refus conscientisés ou non de la personne de s'incarner en totalité et de vivre pleinement cette expérience d'incorporation qui est la sienne. Des problématiques de miasmes énergétiques, peuvent également "décaler" les corps subtils. Dans ma pratique, je peux les recentrer et corriger ce que l'on appelle le "whiplash".

Par ailleurs, l'enlèvement des blocages notamment émotionnels ou mentaux non résolus est l'un des nombreux leviers qui contribue à dépasser ces mémoires traumatiques, pas simplement au niveau individuel, mais également sur les lignées, le prénatal, l'incarnation présente. Avec pour résultat, d'avancer sur le chemin de la libération. Un travail de libération "karmique" que je pratique en même temps permet d'atteindre d'autres strates plus en profondeur, tant dans le passé de votre incarnation présente que vos vies antérieures. Il peut être aussi intéressant de défricher les objectifs liées à notre incarnation.

Pour le bon déroulé du soin, il est conseillé de s'allonger au calme pendant l'intervention et de faire le vide de son mental. Différents mantras permettent d'atteindre ces états de conscience relaxés et modifiés.

Suivre un chemin initiatique

L'éveil à travers la méditation permet de s'ancrer, d'expanser sa conscience et d'avancer sur le chemin de la libération. La pratique de la méditation développe cet élan libérateur à travers le temps. Au cours de mon soin, je perçois vers quelle pratique méditative vous orienter et quelle voie de "Yoga" vous correspond. Un "Yoga" dans la culture indienne est une philosophie de vie.

Le sommeil, la nourriture, ou l'exercice physique sont la condition sine qua non à toute quête de libération et nous aident à cultiver une joie de vivre cruciale et communicative. L'approche doit revêtir une forme de transversalité et de complétude, en d'autres termes, holistique et globale. Nous sommes bâtisseurs de l'éternel et notre être intérieur et le seul chantier possible à toute dévotion. Vouloir changer le monde extérieur serait arbitraire et le reflet d'insécurités que nous devons transcender pour aller mieux sans parasiter le cheminement de l'autre. En revanche, il n'y a aucunes limites à la reprogrammation de notre monde intérieur. Tout processus de guérison ne peut s'amorcer ou être consolidé sans notre volonté. Par ma volonté, je crée. La physique quantique définit que la matière n'est que le "ralentissement" de l'énergie pour schématiser. Autrement dit, nos pensées, nos énergies sont créatrices dans la matière. Ainsi, nous avons le pouvoir de transformer nos vies.

La vie est remplie d'obstacles et cela est bien normal, car nous sommes venus ici pour expériencer-intégrer. Dans ce qui peut s'apparenter parfois, à un vrai chemin de croix, quelle que soit la situation à franchir, rejeter la faute sur l'autre nourrit un effet boomerang. Cette "résonance" parasite nous empêche d'avancer. Elle empêche toute remise en question. Hors, découle de cette remise en question permanente, une ouverture, une échappatoire, une catharsis et enfin une liberté folle, par rapport à ce qui nous arrive à tous au quotidien. Lorsqu'on ne peut changer une situation, il nous reste toujours le pouvoir de choisir à travers notre libre arbitre ; comment nous allons vivre intérieurement cette situation. Et nous avons intérêt à intégrer harmonieusement les choses, pour ne pas en être esclave puis se libérer et enfin avancer sur le chemin de la guérison. En toute chose, un enseignement est à prendre.

L'inertie n'existe pas dans l'univers, rien ne prolonge "statiquement" sans transformation. Et ce, même si nous rêvons d'un jardin-refuge immuable, il serait plutôt le fruit de nos peurs plutôt que de nos besoins. Car nos besoins sont en constante évolution. S'affranchir de nos peurs, c'est accepter l'impermanence des choses, accepter de ne pas être dans le contrôle. Être dans le contrôle, c'est avoir peur, cela est puéril. Aucune décision prise dans la "peur" n'est libératrice. La peur engendre les chaînes de l'esclavage, et ainsi la soumission. Observons l'autre plutôt que de le juger, soyons tolérants et ainsi libérés. Juger l'autre, engage une "fatigue". Une perte d'énergie qui nous déconstruit, autant qu'elle nous enferme, dans un esclavagisme relatif. Accepter de ne pas être dans le contrôle, c'est s'autoriser à se libérer. En se libérant soi, on libère l'autre. Cela implique également de ne pas se comparer à l'autre, nous ne partageons pas les mêmes besoins. Les besoins de chacun sont différents. La normalisation des esprits est le préambule à la folie plutôt que l'inverse en ce qu'il nous désoriente et nous engage dans la traversée d'un désert à des lieux parfois de nos "contrats" d'âme, de notre feuille de route prévue au moment de notre incarnation.

Prenons notre incarnation en mains, elle ne concerne que nous et ne peut être défendue que par nous-même. Elle est potentiellement régie par la loi karmique qui impose l’expérience individuelle à travers la transcendance de l’égo au sens noble. En croyant aider l’autre, on se libère nous-même. Les opportunités d’aider sont avant tout un don de l’univers pour nous aider à lever le voile sur nos blessures et ainsi avancer.

La tolérance, c’est poser un regard compassionnel sur les blessures de l’autre. Un acte malveillant est plutôt le symptôme d’une immaturité ou d’une blessure. Alors, nous pouvons aider l’autre à guérir plutôt que de le juger ou pire, c’est-à-dire le condamner. Nous avons cette liberté d’amener une énergie de clémence plutôt que de faire le jeu de rebond d’énergies d’intolérance. N’opposons pas une haine face à une autre haine. Autrement, la haine est décuplée. À la fin, nous en perdrons le contrôle et c’est cela qui génère les guerres.

Juger l’autre, c’est quelque part l’expression d’une insécurité dont il faut travailler à se libérer pour récupérer un peu de liberté et ne pas en déposséder les autres. Il y a une différence entre « juger » et observer ». À la différence d’un jugement, l’observation n’implique aucune intégration, aucune perte d’énergie dans celui qui « observe » plutôt que « juge ».

Libérons-nous des injonctions qui n'émanent pas de notre for intérieur. Ce qui est bon pour nous n'est pas ce que la société, nos proches ou encore nos amis veulent pour nous. Ce qui nous conviens, nous le ressentons au plus profond de notre être à travers une intuition libérée de toutes peurs.

La spiritualité n'est ni religion, ni doctrine, ni dogme. Elle est expérience. Individuelle et singulière.



Réserver ce soin

Vous êtes entre de bonnes mains

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