Purification d'un lieu

Par Aurélien, le 2024-02-29T00:50:20.242Z


Au fil du temps, les lieux se remplissent d'énergies du vécu.

Il n’est pas inhabituel de se sentir mal dans un lieu. Une atmosphère lourde, des ressentis négatifs, un mal-être, le l’impression d’être observé, une sensation de poids sur les épaules, etc. Parfois, notre vie est brusquement changée par le pire : des évènements négatifs s’enchainent sans explication apparente.


Les impressions peuvent être très concrètes : voix, bruits de pas, coups dans les murs, chute d’objets, etc. Lorsque toutes les autres causes logiques sont écartées, il faut envisager la possibilité que le problème soit causé par des parasites énergétiques. Ces « miasmes » colonisent parfois les lieux comme les personnes. Ils se nourrissent de nos insécurités et d’énergies basses en nuances de gris ou camaïeu de rouge et de rose. Ce peut être nos désordres émotionnels ou mentaux qui par « attraction » nous rendent à la merci d’un parasitage ou du parasitage de notre lieu de vie.

Schématiquement parlant, considérons un parasite comme une puce ou des spores qui coloniseraient vos murs. Le tic aurait un corps physique en plus de ses corps énergétiques. Quant aux moisissures, elles seraient aussi bien visibles sur les ponts froids de vos murs. Sachant que toute création évolue sur une multitude de plans dont parfois en plus sur le plan physique. Tout est multidimensionnel. Ceci étant dit, la plupart de ce qui est n’existe qu’à travers les plans subtils. Vous pouvez imaginer comme la nature est prolifique ici sur Terre, alors, laissez-vous traverser quelques instants par l’idée que dans les mondes subtils, cela est au moins aussi pléthorique et existe en parallèle de vos perceptions physiques. Des mondes que l’on alimente en partie par nos pensées et nos énergies créatrices.

Au cours de la purification du lieu, je travaille également à l’évacuation des formes pensées et des mémoires des lieux ou des murs. Les formes pensées sont la forme énergétique de nos pensées. Elles finissent par remplir les lieux de diverses énergies parfois basses et se rassemblent en égrégores. Les égrégores sont des amas de formes-pensées similaires et collectives agrégées. Les réseaux sociaux en sont la parfaite analogie en ce sens ou ils connectent tout le monde pour le meilleur comme le pire ! La COVID en tant que fléau qui inquiète et fait cogiter les consciences à un niveau mondial en cette période, génère par exemple des égrégores négatifs. Ces égrégores en particulier sont remplis d’énergies, de peurs, de souffrances et de deuils principalement, auquel nous n’avons absolument pas besoin de nous connecter ! Connectons-nous plutôt à des égrégores d’amour, de joie et de lumière !

Un mot est une énergie. Une énergie fait le lien par attraction et nous connecte à tout ce qui est du même bois. Évitons donc d’employer certains mots pour ne pas se blesser et blesser les autres.

Les mémoires d’un lieu est l’empreinte énergétique laissée par l’usage d’un lieu, et, ou de son histoire. Là encore, toute mémoire négative impacte le présent si le lieu n’a jamais été purifié. Exemple : Lorsque votre habitation a été bâtie sur un ancien cimetière, un champ de bataille, etc.

La mémoire des murs, ce sont les mémoires résultantes du passé à l’intérieur d’un bâti. Maladie, violence, meurtre, etc. Toutes ces mémoires impactent le présent si elles n’ont pas été enlevées. Bien sûr, les énergies d’un lieu peuvent être très positives et dans ce cas c’est une bénédiction !

Des phénomènes liés à notre Terre mère

Comme nous, elle vit et nous pouvons lui apporter notre part de soin à grâce à la discipline de la « géobiologie ». En ce qui concerne la géobiologie, je recherche alors toutes sortes de phénomènes, parmi les portes astrales, les vortex, les chemins cosmotelluriques, les croisements Hartmann et Curry, etc. J’y applique le traitement adéquat en prenant soin de respecter et d’obtenir l’accord des énergies gardiennes du lieu. Ces énergies gardiennes peuvent aussi avoir besoin de soins.

Toute une série d’indices sont relevés en radiesthésie pour mesurer les vibrations du lieu, avant et après sa purification et ainsi constaté le bénéfice de l’intervention. La « qualité biotique » est notamment l’un des indicateurs pris en compte pour mesurer la capacité du lieu à « accueillir » la vie.

Lorsque l’on purifie les personnes, il faut aussi purifier son lieu de vie, son foyer et toutes les personnes qui le constituent. Et inversement. Tout est relié.

Un lieu vidé de sa substance dense doit ensuite être rempli d’amour et de joie. À vous ensuite d’y cultiver ces énergies légères. Comme une routine qui deviendrait instinctive à l’avenir.

Seule votre perception du résultat importe.



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Gratitude.

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